L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.
L'homme préhistorique a consommé des œufs de cane, d'oie, de pintade comme le révèlent les débris de coquille sur les sites archéologiques.
Durant l'Antiquité, la consommation d'œufs est courante chez les Grecs, les Chinois (amateurs d'œufs de pigeon) et les Égyptiens qui substituent souvent l'incubation artificielle à l'incubation naturelle pour produire également du poulet de chair. Les Phéniciens sont plutôt amateurs d'œufs d'autruche, les Romains d'œufs de paon bleu. Selon le code alimentaire prescrit aux Juifs pratiquants, les œufs font partie des mets neutres (pareve ou parve).
Source de protéines bon marché par rapport à la viande, régulière pendant la moitié de l’année, à la portée de toute famille possédant un jardin, l’œuf est un constituant courant de l’alimentation depuis le Moyen Âge. L’œuf est parfois considéré comme un aliment gras, sa consommation étant interdite pendant les 160 jours maigres qu'impose l'Église catholique. Cette interdiction est variable selon les coutumes du pays et le rigorisme de l'évêque de chaque localité, elle n'est absolue que pendant le carême, d'où la coutume de l'œuf de Pâques : au ive siècle, l’Église, pour fêter la résurrection du Christ, encourage le peuple et la noblesse à s’offrir des œufs que l’on conserve pendant les jours du Carême qui précèdent Pâques. Ces jours correspondent aussi à la période où les poules recommencent à pondre. Charlemagne impose dans un capitulaire que les fermes impériales aient au moins cent poules et trente oies7.
À la Renaissance, ses modes de préparation sont variés, notamment dans les monastères où de nombreuses recettes sont inventées pour les jours de pénitence :
Sous le règne de Louis XV, les Français consomment soixante œufs par an et par personne4 (270 par personne et par an en 20086) et Menon dit de l’œuf : « c’est un aliment excellent et nourrissant que le sain et le malade, le pauvre et le riche partageaient ensemble ».
Depuis le xixe siècle et jusque dans les années 1950, on les conserve en France en les mettant dans des pots en grès contenant du silicate de soude et les œufs se conservent plusieurs mois8.
Au cours du xxe siècle, la masse de l’œuf est passée à 60 g alors qu'elle était de 50 g aux siècles précédents. L’élevage industriel et l’allongement artificiel de la durée du jour grâce à l’électricité permettent un approvisionnement régulier et bon marché tout au long de l’année.
.
Dans cet album thématique, vous trouverez quelques sources d'inspiration sur différentes façons de faire des présentations autour de ce thème...
Pour enrichir cet album, vous pouvez nous envoyer :
- Toutes les belles photos de dressages sur ce thème que vous trouverez sur le web,
- Vos photos personnelles de dressage sur ce sujet...
Vous pouvez également nous proposer de mettre en en place de nouveaux albums thématiques si vous avez des idées de thèmes que nous n'avons pas encore mis en place.
Si vous souhaitez faire paraître une photo à rajouter dans ce thème, n'hésitez-pas à nous l'envoyer en utilisant notre > Formulaire de Contact .
.